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La Belgique pourrait être le prochain pays à légaliser le cannabis

La légalisation du cannabis reste un sujet brûlant dans le débat politique belge. Le vice-Premier ministre Pierre-Yves Dermagne a déclaré, dans un entretien à la presse belge, que la légalisation est une question de bon sens et permettrait au pays de faire face plus efficacement aux défis liés à la drogue et à la sécurité publique.
Pierre-Yves Dermagne (du Parti Socialiste de Belgique), est l'actuel ministre responsable des portefeuilles du Travail et de l'Économie. Dans interview Dans la presse belge, citée ici par le journal De Morgen, où ont été abordés divers sujets politiques d'actualité dans le pays, la légalisation du cannabis et son impact potentiel sur la société et la sécurité publique ont été soulignés. « La légalisation du cannabis est une solution au problème de la drogue et de la sécurité dans nos villes » a déclaré Dermagne. Le vice-premier ministre belge justifie sa position favorable par l'échec des mesures répressives en vigueur. Dermagne suit de près les différentes initiatives réglementaires en cours dans les pays voisins, comme l'Allemagne, les Pays-Bas et le Luxembourg, et affirme qu'il s'agit d'une mesure prioritaire pour lui et son parti.
Le vice-Premier ministre a présenté une position ferme sur la légalisation du cannabis, la défendant comme une mesure sensée pour faire face au problème de la drogue et améliorer la sécurité dans les villes belges. Dermagne, s'est réfugié dans les avancées des pays voisins, comme l'Allemagne, les Pays-Bas et le Luxembourg, qui ont déjà adopté la légalisation, sous différentes formes, pour justifier politiquement la mesure et réfuter l'idée selon laquelle la légalisation serait quelque chose d'irrationnel ou d'extrême. .
La légalisation est une question de bon sens
Dermagne a souligné que la répression de la consommation de cannabis ne fonctionne pas et qu’il est temps d’envisager la légalisation comme une alternative viable. La légalisation permettrait de réglementer la culture et la vente de la substance, ce qui générerait des revenus pour l'État. Cette recette pourrait être appliquée à des domaines tels que la police, la justice et la prévention.
D'un autre côté, Dermagne a également reconnu les risques associés à la consommation de cannabis, notamment en matière de santé, mais a soutenu qu'il est nécessaire d'être réaliste lorsqu'on aborde la question de la légalisation. Le ministre a fait valoir que le cannabis est largement accepté et omniprésent dans la société actuelle telle que nous la connaissons et que son interdiction n'est pas une solution efficace. Alternativement, la légalisation permettrait un contrôle meilleur et plus strict des activités de production et de distribution, afin de contrôler les ventes aux mineurs et d’affaiblir le marché noir associé aux substances illicites.
Pour le ministre, il s’agit essentiellement d’une question de bon sens, selon un message publié sur Twitter, dans lequel il entend « mettre fin à l’hypocrisie autour du cannabis », affirmant que la meilleure façon de contrôler le cannabis passe par la réglementation.
✊ Est-il toujours sous cannabis ? Pourquoi devons-nous réglementer la meilleure chose à faire pour vous ?
?️ Un kwestie van gezond versand voor pisse. Dans mon entretien, j'ai rencontré De Morgen et je suis allé là-bas.https://t.co/gWQO2Qm24E
—Pierre-Yves Dermagne (@PYDermagne) August 31, 2023
Préférence pour le modèle allemand
Concernant ses préférences concernant les modèles de légalisation, Dermagne ne voit pas le système de Les cafés Les modèles néerlandais constituent l'idéal, mais suivent avec enthousiasme le modèle allemand, où la législation en préparation prévoit que les citoyens s'unissent pour cultiver et acquérir collectivement du cannabis par le biais d'associations.
Il a reconnu qu'il se heurtera à l'opposition de plusieurs partis, mais a souligné que la légalisation du cannabis est une priorité de son parti en matière de santé et de sécurité publiques. Dermagne s'est dit convaincu que cette mesure bénéficie d'un soutien croissant, y compris parmi les jeunes du parti libéral flamand.
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[Avertissement : veuillez noter que ce texte a été initialement rédigé en portugais et est traduit en anglais et dans d'autres langues à l'aide d'un traducteur automatique. Certains mots peuvent différer de l'original et des fautes de frappe ou des erreurs peuvent survenir dans d'autres langues.]____________________________________________________________________________________________________
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Je suis l'un des directeurs de CannaReporter, que j'ai fondé avec Laura Ramos. Je viens de l'île unique de Madère, où je réside actuellement. Alors que j'étudiais l'ingénierie physique à la FCUL à Lisbonne, je me suis impliqué dans la scène nationale du chanvre et du cannabis et j'ai participé à plusieurs associations, dont certaines dont je suis toujours membre. Je suis l'industrie mondiale et notamment les avancées législatives concernant les différents usages du cannabis.
Je peux être contacté par email à joao.costa@cannareporter.eu
